Les entreprises
Mon expérience de 10 ans dans de grandes entreprises françaises, en tant que consultante pour des cabinets d’expertise comptable auprès des CE (analyses financières, économiques et sociales, projets de réorganisations etc.) et des CHSCT (conditions de travail) m’a permis de constater les évolutions du monde du travail, le stress associé, et la quête de sens à laquelle font face la plupart des travailleurs.
Pour les entreprises et tous les salariés qui souhaitent avancer sur ces problématiques et bien d’autres encore, la sophrologie est un outil concret aux répercussions immédiates.
Pour les entreprises et tous les salariés qui souhaitent avancer sur ces problématiques et bien d’autres encore, la sophrologie est un outil concret aux répercussions immédiates.
Les entreprises se transforment de plus en plus rapidement, le travail évolue, et dans le même temps, les risques professionnels aussi. Si le stress au travail n’est pas un phénomène nouveau, la notion de risques psychosociaux est devenue progressivement un sujet majeur mobilisant à la fois l’Etat, les partenaires sociaux et les entreprises.
A ce titre, le rapport « Bien être et efficacité au travail » commandé par le 1er ministre à Henri LACHMANN (Président du Conseil de surveillance de Schneider Electric), Christian LAROSE (Vice Président du Conseil Economique, social et environnemental, et Muriel PENICAUD (Directrice des Ressources Humaines de Danone) Rendu public en 2010 (cf. ici) fait état de 10 propositions visant, au-delà de la gestion du stress professionnel, l’amélioration du bien-être des salariés et leur valorisation comme principale ressource de l’entreprise.
Il stipule notamment qu’« En France, la fierté du travail bien fait occupe une place importante. Le métier n’est pas qu’une source de rémunération : il est partie prenante de l’épanouissement personnel, de l’intégration et du lien social. Ce lien essentiel avec le travail place l’entreprise au cœur des solutions ».
A ce titre, le rapport « Bien être et efficacité au travail » commandé par le 1er ministre à Henri LACHMANN (Président du Conseil de surveillance de Schneider Electric), Christian LAROSE (Vice Président du Conseil Economique, social et environnemental, et Muriel PENICAUD (Directrice des Ressources Humaines de Danone) Rendu public en 2010 (cf. ici) fait état de 10 propositions visant, au-delà de la gestion du stress professionnel, l’amélioration du bien-être des salariés et leur valorisation comme principale ressource de l’entreprise.
Il stipule notamment qu’« En France, la fierté du travail bien fait occupe une place importante. Le métier n’est pas qu’une source de rémunération : il est partie prenante de l’épanouissement personnel, de l’intégration et du lien social. Ce lien essentiel avec le travail place l’entreprise au cœur des solutions ».
Or la fragilisation (voire la rupture) de ce lien peut avoir des conséquences directes pour les travailleurs et les entreprises :
Pour les salariés :
Plusieurs mécanismes étiologiques expliquent l’association entre facteurs de RPS et différents indicateurs de santé à la fois physique et mentale : maladies cardio-vasculaires, troubles musculosquelettiques, pathologies mentales (dépression, anxiété) etcPour les entreprises :
Hausse de l’absentéisme et/ou du turn-over, augmentation du nombre d’accidents du travail et des incidents, baisse de la productivité, désengagement du travail, dégradation du climat social etc.
Vu les conséquences néfastes que peuvent générer ces risques, l’obligation pour l’employeur de les prévenir apparaît de facto légitime : Le dirigeant d’entreprise doit d’une part assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de tous ses salariés (Article L4121-1 du Code du travail) et d’autre part identifier les problèmes de stress au moyen d’indicateurs, de les prévenir, de les éliminer ou à défaut de les réduire par des mesures appropriées (ANI du 02/07/2008). Enfin, rappelons que le Document unique doit présenter l’analyse des RPS identifiés et les programmes d’actions mis en place.
L’accompagnement sophrologique apporte des solutions nouvelles et des résultats durables dans les entreprises qui l’inscrivent dans leur démarche de prévention des risques en aidant notamment à :
- La prévention du burn out (gestion du stress, de la fatigue, prise de recul)
- L’optimisation des capacités de concentration et d’adaptabilité professionnelle (travail en open-space et en équipes)
- La gestion des conflits (communication)
- La récupération physique et mentale (travail en équipes, déplacements professionnels etc.)
- Mieux-vivre ses prises de parole en public
- Se préparer sereinement aux entretiens d’évaluation, entretiens annuels ou entretiens d’embauche
- Motiver, remotiver vos salariés et optimiser leurs performances (autonomie, confiance, écoute, efficacité, réactivité, communication etc.)
- Se donner les moyens de diminuer l'absentéisme et les arrêts de travail
Dans les entreprises, la sophrologie s’adresse à l’ensemble des collaborateurs (dirigeants et/ou salariés quel que soit leur niveau), à la demande de la direction et/ou des organisations représentatives du personnel (CE, CHSCT etc.).
Les séances de sophrologie sont organisées en fonction des besoins spécifiques de votre entreprise. Je vous propose d’intervenir :
- A l’occasion de demi-journées ou journées de formation auprès d’un groupe de personnes volontaires pour une première approche et l’acquisition d’outils simples et concrets.
- En séances hebdomadaires d’environ une heure, auprès d’une dizaine de personnes pour un entraînement sophrologique régulier permettant l’intégration des techniques en vue d’une autonomie.
- En séances individuelles sur le lieu de travail, pour un accompagnement sur mesure.
Modalités : mise à disposition d’une salle et d’une chaise par participant
Devis en fonction de votre demande, n'hésitez pas à me contacter.